Face aux destructions irrémédiables qui touchent le patrimoine syrien, il devient indispensable de mieux connaître la documentation ayant immortalisé cet héritage en péril : archives de voyageurs, d’archéologues, d’historiens ou d’historiens de l’art.
Par Etienne Blondeau, musée du Louvre et Bassam Dayoub, collaborateur scientifique du département des arts de l'Islam