Autrefois, dans les rues de Paris, les marchands ambulants n’avaient d’autre moyen que de crier pour se faire remarquer. Chacun avait son propre cri, en fonction de son métier ou de sa marchandise.
Certains cris ont traversé le temps jusqu’à nous comme par exemple : « Marrons, marrons ! Chauds les marrons, chauds ! ». Et parfois, vers la rue Montorgueil, on entend encore le vitrier. C’est un univers populaire, celui des rues de la capitale et des petits métiers, un univers passionnant qui nous entraine au sein d’un petit monde affairé et gouailleur, typiquement parisien.