La peinture de rue, c’est de l’art buissonnier qui fleurit dans la pierre. C’est la rage et l’espoir, c’est la vie, c’est la sève qui coule dans le béton.
Comme les conteurs, ces artistes de l’ombre révèlent l’envers du décor en traçant dans l’épaisseur des murs des portes vers l’ailleurs. Contes hors temps et street art hors cadre sont donc faits pour s’entendre.
C’est pourquoi nous vous proposons une rencontre entre ces deux arts populaires, ces deux ouvre-mondes. Un dialogue entre « Il était une fois » et « Il est maintenant », entre Belleville la jeune et Ménilmontant l’ancien.
