Les contrastes saisissants, entre la vie mouvementée de l'homme et sa grandeur littéraire, le poète semble nous l'expliquer dans le dernier quatrain de son poème saturnien Çavitrî (extrait de Poèmes Saturniens) :
"Que nous cerne l’Oubli, noir et morne assassin,
Ou que l’Envie aux traits amers nous ait pour cibles.
Ainsi que Çavitri faisons-nous impassibles,
Mais, comme elle, dans l’âme ayons un haut dessein."